Traiter les douleurs articulaires avec l’homéopathie

L’homéopathie, fondée au XVIIIème siècle par le docteur Hahnemann, fait désormais partie du quotidien des Français. Elle est une alternative naturelle aux médecines chimiques des laboratoires, elle permet en effet de trouver des solutions aux troubles du quotidien, comme le cas des douleurs. Les antidouleurs ou antalgiques comme le Paracétamol, l’ibuprofène, l’aspirine ou d’autres encore remplissent ainsi les trousses à pharmacie de la plupart des foyers. Mais qu’on se le dise, l’homéopathie peut se révéler être une solution naturelle efficace pour les douleurs articulaires, un mal qui concerne des milliers de personnes !

Efficace contre les douleurs articulaires

Les douleurs musculaires ou articulaires sont un mal qui touche plus d’un d’entre nous. Qu’on sollicite son corps physiquement ou pas, qu’on soit jeune ou âgé, à un moment ou un autre chaque personne est concernée par ce problème. C’est pour cette raison que la médecine douce peut se révéler très utile pour les soigner. Ce type de traitement est adapté quel que soit l’âge.

L’homéopathie ne souffre d’aucune contre-indication exception faite des personnes allergiques à un produit particulier. Les femmes enceintes peuvent y faire entièrement confiance sans pour autant courir de risques.

Ce type de médecine douce a la particularité supplémentaire de ne pas altérer le système immunitaire, contrairement à certains médicaments traditionnels. Il n’y a pas de risques d’effet secondaire ni de dépendance, ce qui devrait rassurer les patients.

Leurs formes qui se déclinent en poudre, en bille ou en gouttes, en font également des traitements faciles à prescrire, principalement pour les enfants qui sont souvent réfractaires à tout type de médicaments.

Cette médecine naturelle fait souvent l’objet de recherches, elle a été étudiée dans le cadre de l’enquête « Epi 3 » des laboratoires Boiron en 2006. Selon les résultats de cette étude, les traitements homéopathiques, parfaitement combinables avec les allopathiques, se valent parfaitement en termes d’efficacité. Toujours selon le rapport, cette médecine douce permet de diminuer de 46% la prise d’anti-inflammatoires non stéroïdiens, voire jusqu’à 60% quand il s’agit de troubles chroniques.

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Ce rapport d’efficacité est tout à fait louable surtout quand on connaît les nombreux bénéfices des produits sur le corps. A l’inverse, les AINS provoquent de nombreux effets secondaires, surtout digestifs, sur les patients estiment les chercheurs.

Comprendre les douleurs articulaires

Les articulations sont des parties essentielles du corps humain, elles permettent aux os d’être reliés entre eux. Ils sont notamment joints, mais peuvent aussi se mouvoir grâce à elles. En outre, elles ont une fonction de protection contre les chocs. De par tout cela, les articulations sont certainement une des parties les plus sollicitées du corps humain, il en compte pas moins de 400. Avec le temps, la dégradation du cartilage et le durcissement de certains tissus peuvent les fragiliser.

En effet, ces rôles essentiels en font des éléments fragiles dont il est important de prendre soin. Pour les entretenir, il est important d’avoir une alimentation riche en antioxydants, en nutriments essentiels et surtout équilibrée.

Mais avec le temps ou d’autres facteurs, les articulations peuvent faire face à des troubles inhérents à la nature. On parle alors de douleurs mécaniques comme l’arthrose ou inflammatoires comme la polyarthrite rhumatoïde ou encore la goutte. La cause des douleurs peut aussi être traumatique suite à un accident, à une chute ou à un étirement trop violent. Il peut aussi s’agir de dépôt de cristaux ou d’une cause infectieuse, même si cela reste rare.

Le virus du Chikungunya peut par exemple emmener avec lui des virus qui vont s’attaquer aux articulations et causer ainsi de vives douleurs. Les causes les plus souvent évoquées qui entrainent des douleurs articulaires sont la vieillesse, les changements de saison, les efforts physiques inadaptés, les gestes répétitifs ou encore le surpoids. Autant d’éléments qui peuvent causer des douleurs sans distinction de sexe. Chez les femmes, la ménopause peut voir apparaître ce type de douleurs.

Pour savoir si on souffre de ces maux, il faut en déterminer la durée, le début, le nombre d’articulations douloureuses et surtout lesquelles. Dans certains cas, la douleur peut être symétrique, par exemple les deux poignets ou les deux genoux.

Soigner les douleurs articulaires grâce à la médecine douce

Pour soulager ou guérir complètement les douleurs articulaires, l’homéopathie peut faire office d’un allié précieux. Bien évidemment comme il s’agit d’un traitement personnel, il faut consulter un spécialiste avant toute médication. Il sera plus à même de donner les produits adéquats en fonction de la personne.

Parmi les solutions préconisées, on peut utiliser différents traitements.

Le Toxicodendron 7CH est préconisé pour tout ce qui concerne les douleurs articulaires dues à l’humidité accompagné de réveils difficiles et d’une mise en route lente. On a aussi souvent recours au Ledum Palustre 5CH surtout s’il s’agit de rhumatismes où l’articulation s’enfle, est froide au toucher et lorsque la douleur est aggravée par la chaleur et améliorée par les applications de froid.

Il y a des traitements spécifiques pour certains troubles liés aux douleurs articulaires. Voici quelques témoignages :

Aline 47 ans : je souffrais de tendinite de la cheville suite à une chute il y a 2 ans. Notre médecin de famille m’a prescrit des antidouleurs et des anti-inflammatoires, mais les douleurs revenaient toujours après quelques mois. Conseillée par une amie, j’ai décidé de me tourner vers la médecine douce. L’homéopathe m’a prescrit du l’Actaea spicata, en forme de granules. A priori, plus de récidive.

Renaud, 65 ans : je souffre d’arthrose depuis 2 ans maintenant. Chaque hiver c’est l’enfer, je ne supporte plus le froid. Cette année, j’ai consulté un spécialiste qui m’a conseillé du Bryonia Alba 7CH pour soulager ce trouble chronique. Cet hiver, les douleurs se sont vite dissipées.

Jules, 68 ans a aussi des problèmes d’arthroses : je suis un traitement à base de Causticum 7CH, à cause de mes douleurs accompagnées de craquement de l’articulation, des hanches et des genoux. Je supporte mieux ma maladie depuis que je prends mes granules.

Hubert, 72 ans : j’ai une arthrose des lombaires, des hanches et des genoux avec des articulations infiltrées et augmentées de volume. Je vis mieux avec ma maladie depuis que je suis un traitement à base de Natrum Sulfuricum 9CH.

Pour se prémunir contre les douleurs articulaires, l’homéopathie prévoit également des traitements préventifs surtout composés d’oligoéléments et de minéraux. Le Sélénium ou encore le manganèse associé au Cobalt, ainsi que des vitamines de type C, E et D peuvent prévenir l’usure du cartilage.

Au final, on retiendra que chaque douleur articulaire possède son propre traitement, il doit être adapté en fonction de la personne et de son état.

Traiter ses douleurs dentaires grâce à l’homéopathie

L’homéopathie est une méthode alternative pour se soigner, c’est un domaine de plus en plus en vogue en Europe et dans bien d’autres continents. En France, plus d’un tiers de la population a désormais recours à ce moyen de guérison. Il est basé sur le principe de la similitude, il fait appel à la dilution de substances toxiques qui, à dose infime, peut soulager un malade. Ce type de médecine douce est efficace pour les pathologies aigües et pourtant il est peu onéreux. Pour soigner les douleurs dentaires, l’homéopathie peut se révéler être un sérieux atout.

Les effets de l’homéopathie sur les douleurs

L’homéopathie est étudiée depuis plus de trois siècles, elle fait désormais partie du quotidien de nombreux Français. Il faut dire que cette médecine naturelle peut jouer un rôle très efficace pour soigner de différents maux et pathologies. On obtient de bons résultats, certains produits agissent  très vite.

Cette médecine alternative est ainsi devenue très courante pour soulager les douleurs qu’elles soient musculaires, articulaires ou même dentaires. Le principal avantage étant bien sûr l’aspect naturel qu’elle met en valeur contrairement aux traitements allopathiques.

Le traitement, que ce soit en granules, en billes ou en sirop, a la particularité supplémentaire de ne pas avoir d’effets secondaires. Toutefois, il est à noter qu’un tel traitement doit être prescrit par un médecin traitant, car chaque pathologie dépend de plusieurs facteurs. Le type, l’intensité et les circonstances de l’apparition de la douleur ou encore en fonction des événements sont autant de facteurs à prendre en compte. Pour deux patients différents, il est possible d’avoir deux traitements radicalement différents.

L’homéopathie fonctionne sur le principe que le corps possède en lui, la force de se guérir tout seul, elle intervient donc pour renforcer les défenses du système immunitaire. Ce renforcement s’applique grâce à une stimulation du processus naturel de guérison que le médecin homéopathe cherchera à appliquer dans le cadre de ses prescriptions.

Il utilise la dilution pour décider du traitement adéquat, cela consiste à tirer des produits souches qui peuvent être d’origine végétale, animale ou minérale. Ce sont des produits comme le venin d’abeille, la plante comme l’Arnica montana ou encore le foie et le cœur de canard. Tout cela peut faire partie des produits souches, dont on tire des traitements homéopathiques.

Grâce à ses nombreuses qualités, ce type de médecine douce peut être considéré comme une alternative bien plus salutaire que les solutions traditionnelles.

Douleurs dentaires : ce mal qui nous ronge

Les maux dentaires concernent tout le monde et se manifestent à tous les âges. On distingue parmi ses différentes origines les douleurs locales qui concernent la cavité buccale, les douleurs plus distantes comme celles dans le sinus, les articulations de la mâchoire, le visage, etc.

En général, les douleurs dentaires apparaissent à cause d’une carie, la poussée de dents de sagesse, l’usure du cément, la fracture d’une dent ou la fêlure lorsqu’il s’agit de douleurs au niveau de la dent. La carie peut s’aggraver jusqu’à former un abcès.

Au niveau de la gencive, les douleurs peuvent être causées par un tassement alimentaire quand les débris se coincent et s’accumulent entre les dents ou peuvent être le résultat d’une inflammation de la gencive qu’on appelle gingivite.

Ces maux peuvent aussi être causés par des affections parallèles. Le plus souvent, une sinusite peut entraîner des douleurs au niveau des molaires ou encore au niveau facial.

On les reconnait le plus souvent par un une sensation de lourdeur ou une douleur aigüe. Dans certains cas, il peut y avoir une apparition de gonflement voire une déformation de la joue surtout quand il s’agit d’un abcès.

Il aussi y avoir des symptômes plus graves comme l’apparition de collections purulentes ou même de fièvre. Cela résulte généralement d’infections bactériennes qui peuvent provoquer le gonflement de tissus et causer ce qu’on appelle une cellulite d’origine dentaire. Des saignements peuvent aussi apparaître surtout lorsqu’il s’agit de pathologies liées à la gencive.

Une prise en charge trop tardive peut conduire à la chute des dents dans le pire des cas et à leur déchaussement dans le moindre des cas. En cas d’infection bactérienne, les bactéries responsables peuvent s’infiltrer dans le sang et provoquer des septicémies ou même des problèmes cardiaques. La cellulite d’origine dentaire peut s’installer sur d’autres tissus voisins.

Soigner les douleurs dentaires avec l’homéopathie

Après consultation d’un spécialiste en homéopathie, certains traitements peuvent être préconisés en fonction de la situation et de l’état du patient. Pour les douleurs associées à la contraction de la mâchoire par exemple, le Cheiranthus Cheiri 15CH se prend à raison de 5 granules autant de fois qu’on le souhaite.

Témoignages :

Luc 28 ans : j’avais souvent des problèmes dentaires, il faut dire que je ne consulte pas souvent mon dentiste. Un collègue de travail m’a conseillé de recourir à la médecine naturelle. Pour atténuer mes douleurs dentaires, il m’a prescrit le Chamomilla vulgaris 9CH, à prendre autant qu’on le souhaite en prenant soin toutefois de laisser 15mn d’écart entre chaque prise. Pour ceux qui souffrent de douleurs dentaires comme moi, vous serez vite soulagé.

Sophie 19 ans : j’avais des caries sur 2 dents qui provoquaient des douleurs aigües ! En attendant les soins chez le dentiste je me suis rendue chez un homéopathe, il m’a dit de prendre du kreosotum 9CH ou du Mercurius Solubilis 9 CH (j’avais pris le premier).

Maude 42 ans : pour les abcès, le Mercurius Solubilis 9CH à raison de 3 granules 3 fois par jour peut se montrer efficace. C’est ce que mon homéopathe m’a prescrit. Pour ma fille de 17 ans qui souffraient beaucoup lors de l’apparition de ses dents de sagesse, il lui a donné du Cheiranthus Cheiri 9CH à raison de 3 granules 3 fois par jour. Cela lui a fait du bien !

Richard 36 ans : il y a quelques mois de cela, chaque fois que je brossais mes dents elles saignaient. Pire encore, mes gencives étaient enflées, c’était gênant et douloureux. J’avais bien compris qu’il s’agissait d’une gingivite. On m’a donné du Belladona 12 CH à raison de 20 gouttes 3 fois par jour, cela m’a vraiment soulagé !

La prise des produits ne doit pas être faite après le brossage de dents, de manière générale. Il est impératif d’éviter les dentifrices à la menthe parce qu’elle inhibe les effets des traitements homéopathiques.

Pourquoi choisir l’homéopathie pour soigner une fièvre ?

La fièvre fait partie d’une des maladies les plus courantes. Quel que soit l’âge,  tout le monde peut être affecté. On appelle « fièvre » une nette augmentation de la température du corps. Elle peut être accompagnée de malaises, de douleurs et autres désagréments. On dit que la fièvre est une réaction immunitaire du corps humain. Face à une agression extérieure, le corps déploie ses propres défenses naturelles afin de lutter contre la prolifération de ces attaques qu’elles soient microbiennes ou bactériennes.

Le choix de se soigner par l’homéopathie

L’homéopathie est une méthode alternative de traitement contre divers troubles et maladies. On la retrouve un peu partout dans le monde, elle est pratiquée par différents praticiens qu’il s’agisse de médecins, de dentiste, de vétérinaires de chiropraticiens, de naturopathes et autres métiers de la santé.

Elle repose sur trois principes qui en sont le fondement. La loi de similitude ou le semblable guérit le semblable, la loi de l’individualisation ou un traitement spécifique pour chaque malade, ainsi que le procédé des hautes dilutions qui consiste à diluer le remède dans diverses solutions d’eau et d’alcool.

Généralement issue des produits animaux, végétaux ou minéraux, l’homéopathie est une alternative naturelle aux traitements classiques. Son côté naturel lui permet de ne présenter aucun effet secondaire contrairement aux autres moyens de thérapie. En outre, elle peut être efficace pour les pathologies aigües, les allergies, les petits bobos du quotidien ou encore les états anxieux.

C’est aussi une alternative qui coûte moins chère que les thérapies conventionnelles. Lorsqu’ils sont prescrits par un docteur, les traitements homéopathiques peuvent être remboursés par la sécurité sociale à hauteur de 35%.

Dans le cas de la fièvre, cette forme de médecine douce joue principalement un rôle de stimulis. En effet, contrairement aux traitements allopathiques, elle intervient pour stimuler la réactivité du corps pour se débarrasser de l’infection. C’est un rôle que les traitements homéopathiques jouent parfaitement afin de remédier à certaines pathologies. Malgré une efficacité avérée, ils peuvent être associés aux traitements allopathiques. C’est le cas lorsque le patient est atteint de maladies comme le diabète ou l’hypertension, le cancer, etc.

Comment reconnaître une fièvre ?

La fièvre est un processus naturel dans l’élimination de certaines attaques provenant de l’extérieur, elle est notamment le fruit de substances appelées pyrogènes. Il s’agit des globules blancs qui, face à une attaque extérieure, se mettent à libérer ces pyrogènes dans le corps. Résultat de cette action, la température du corps se met alors à augmenter. La température qui augmente est censé limiter voir arrêter complètement les actions des microbes et des parasites. Cela peut conduire jusqu’à leur destruction complète.

La libération des pyrogènes peut aussi être due à des effets importants déployés pendant une période de forte chaleur, à une surexposition au soleil ou encore à un trouble hormonal. Dans certains cas, la fièvre peut aussi être le fait de l’usage de certains médicaments.

Elle se déclare le plus souvent par une température corporelle supérieure à 38°C, elle peut être accompagnée de nombreux autres symptômes. Elle peut provoquer de grandes sensations de soif en plus d’une certaine anxiété, ainsi que d’une sécheresse de la peau. Parmi les symptômes qui la caractérisent, on peut aussi voir apparaître de la pâleur ou des rougeurs.

Le patient peut être plongé dans une fatigue extrême en plus de la sécheresse de la bouche, la sensation de froid et de gros frissons. Quand on a la fièvre, un processus peut se déclencher dans le corps humain. L’hypothalamus, une partie du cerveau, peut se faire contracter les muscles, ce qui provoque alors des tremblements chez le patient. Il peut aussi avoir des courbatures et de grandes sueurs qui s’expliquent par le dégagement de la chaleur grâce à la transpiration.

Dans des cas très rares, la transpiration peut être visqueuse et dégager une odeur désagréable. Pour les bébés de moins de trois mois, la fièvre peut être accompagnée de convulsions.

Traiter la fièvre avec l’homéopathie

L’homéopathie fonctionne suivant le principe de l’individualisme. Avant de prendre des produits homéopathiques, il est important de consulter un spécialiste qui établira le diagnostic et le traitement adéquat.

Comme dit précédemment également, l’homéopathie stimule les agents anti-infectieux présents naturellement dans le corps. Le traitement aura donc pour vocation de soulager les douleurs et les malaises liés à la montée de température. De même, si la fièvre se prolonge par exemple au-delà de 48 heures chez l’enfant et que la température dépasse les 39°C, il est vital de consulter un médecin pour savoir de quelle maladie il s’agit.

Au-delà de 40°C, la consultation est obligatoire quel que soit l’âge du patient. C’est la même chose lorsqu’il apparaît des troubles supplémentaires comme par exemple des tâches rouges hémorragiques sous la peau, des gonflements, des douleurs, des rougeurs. Il faut également consulter si elle est accompagnée de céphalées aiguës avec une rigidité du cou (signes annonciateurs d’une éventuelle méningite), de sensation de brûlure dans les parties génitales (qui peut cacher une éventuelle infection urinaire), des tremblements, des toux suivis de difficultés respiratoires qui peuvent annoncer une infection respiratoire.

Si la fièvre est persistante et qu’aucun traitement ne semble efficace, il est obligatoire de consulter un médecin.

Jules 38 ans : pendant les vacances d’été j’ai eu une fièvre suite à une insolation. L’homéopathe m’a prescrit du Belladona 9 CH et cela a été efficace. Ma sœur m’avait dit qu’elle avait également pris le même médicament pour ses allergies, cela a marché. Jusque là j’ignorais qu’un remède pouvait être prescrit pour deux pathologies différentes !

Anne-Lise 26 ans : j’ai eu 39 de fièvre au mois d’août, pas de transpiration, l’homéopathe m’a préconisé de prendre 3 granules d’Aconit 15 CH toutes les demi-heures. Elle est vite tombée au bout de la 2è prise.

Jacques 51 ans : la mienne était liée à mon état grippal, ce n’était pas très méchant mais fatigant quand même à 38,5°C, mes yeux étaient brillants un peu larmoyants, le médecin m’a dit que j’étais très pâle, il m’a prescrit 3 granules de Bryonia 5 CH toutes les demi-heures. Je me sentais beaucoup mieux malgré la grippe qui s’est estompée aussi.

Pour les fièvres qui engendrent des températures à 38,5°C avec des yeux brillants et une alternance de pâleur et de rougeur, on peut également prendre 3 granules de Ferrum Phosphoricum 5 CH.

Si la fièvre est accompagnée de sueurs malodorantes et visqueuses, la prise de 3 granules de Mercurius Solubilis 5 CH toutes les demi-heures est efficace.

Les remèdes homéopathiques efficaces contre le rhume

Le cycle du virus du rhume, appelé « rhinovirus », se répète chaque saison d’hiver ou du printemps. Attraper le rhume n’est pas chose de grave, mais c’est une des maladies les plus ennuyeuses qui soient. Heureusement, l’homéopathie est toujours là lorsque Monsieur tout le monde en a besoin lors de la saison hivernale. Cette médecine a pour fondement de traiter le mal par le mal, c’est-à-dire administrer à un patient une dose de substance de la maladie mais hautement diluée.

Quels sont les symptômes du rhume ?

Les courbatures, les maux de tête, la fièvre, la toux, etc. sont généralement les signes du rhume de foins. La manifestation de cette maladie s’effectue en deux phases : la phase d’invasion et la phase d’état grippal.

La première étape est accompagnée de frissons, de fièvre brutale supérieure à 38,5 ° C, de maux de tête, de douleurs musculaires et malaises. Celle d’état grippal, quant à elle, se manifeste le plus souvent par des signes variant en fonction du sujet.

Les plus fréquents sont :

  • Fièvre élevée (température frôlant les 40 ° C)
  • Frissons
  • Accélération du pouls et du rythme cardiaque entraînant une tachycardie importante
  • Abattement et fatigue qui peuvent entraîner la somnolence
  • Anorexie (manque d’appétit)
  • Rhinorrhée (nez qui coule)
  • Migraines très importantes au niveau des yeux et du front
  • Brûlures dans le thorax
  • Photophobie (difficulté à supporter la lumière, etc.)

Il ne faut pas oublier que le rhume peut aussi se présenter sous la forme extra respiratoire accompagnée de signes qui touchent d’autres organes, trompant le plus souvent le patient. Ces signes sont :

  • Signes de méningite : enveloppes du cerveau, inflammation de l’encéphale
  • Troubles digestifs
  • Myocardite  ou inflammation musclo-cardiaque
  • Signes de péricardite
  • Signes d’encéphalite

Il se peut que le sujet ait aussi des sueurs nocturnes, une somnolence marquée, des douleurs articulaires et/ou une sensation de brûlure dans l’œil.

Les remèdes homéopathiques pour lutter contre le rhume

Il est possible pour un patient de choisir l’homéopathie comme remède en prévention et en début de rhume. Cette médecine douce peut également être un analgésique pour le traiter puisqu’elle propose de nombreuses granules hautement diluées.

Médicaments homéopathiques pour la prévention

–    Influenzinum

Ce médicament est élaboré à base de souche du vaccin de la grippe de l’année. Une dose par semaine doit être prise durant le premier mois hivernal puis une dose toutes les deux semaines pendant et jusqu’à la fin de la saison froide.

–    Oscillococcinum

Ce remède est à choisir en fonction de l’indication de l’homéopathe pour prévenir le rhume. Une dose tous les 10 jours aide un individu à les conserver du rhume de foins et autres formes de rhume. Une dose toutes les 6 heures, puis 3 doses et enfin une dose doit être prise dès les premiers signes d’état grippal.

Les traitements homéopathiques dès le premier signe

–    Belladonna

L’Aconitum Napellus est idéal pour traiter rapidement le rhume accompagné des signes suivants : congestion céphalique, hyperthermie, début brutal, abattement ou délire, sueurs abondantes.

–    Aconitum napellus

C’est le meilleur remède pour contrer l’hyperthermie, la peau sèche et de couleur rouge occasionnée par la maladie. Le malade peut avoir une intense soif et agitation, mais l’Aconium Napellus peut les soulager.

–    Ferrum Phosphoricum

Celui-ci est idéal pour le rhume ayant un début insidieux et de la fièvre peu élevée. Dans ces symptômes, le patient a le plus souvent la peau moite. Il y a également une tendance hémorragique localisée ou congestive.

Traitement du rhume en homéopathie

–    Rhus Toxidendron

Le Rhus Toxidendron est à choisir en cas d’état fébrile adynamique, de prostration, de courbatures qui se manifestent par l’enraidissement des articulations et une amélioration avec des mouvements. C’est le remède efficace si la personne ressent une soif intense pour du lait ou de l’eau froide alors qu’elle a une sensation glacée sur quelques parties de son corps.

–    Baptisia Tinctoria

C’est un médicament agissant sur un sujet qui présente un état fébrile adynamique avec une confusion mentale et une intense prostration. Il se peut qu’il présente également des courbatures et des douleurs musculaires. Il a l’haleine et des selles d’odeur fétides.

–    Arnica

Ce médicament est plutôt adapté à tous les symptômes d’un rhume de foins ou d’une autre maladie similaire, mais n’apparaissant que pendant la saison d’hiver. Il peut atténuer les malaises provoqués par les courbatures, les frissons et les ecchymoses. C’est le remède pour une personne atteinte du rhume qui répond difficilement aux questions posées.

L’homéopathie durant la période de convalescence

Certains symptômes peuvent résister même après la période grippale et c’est pour cela que l’homéopathie propose d’autres produits pour y faire face.

–    Kalium Phosphoricum

C’est le meilleur pour l’asthénie psychique persistant chez le malade. Un homéopathe le conseille également en cas de manque de goût pour toute activité intellectuelle après avoir été soigné du rhume. Ce remède remet sur pied rapidement le patient.

–    China

Il s’agit d’un remède homéopathique à prendre pour un sujet en convalescence, mais qui présente toujours une fatigue physique, une pâleur, une perte importante de liquides organiques ou une hypotension après une transpiration abondante.

L’Avena Sativa est aussi idéal pour compléter le remède pendant la période de convalescence puisqu’il a une action apéritive et stimulante pour ceux qui sont atteints par le rhume.

Quelques gestes pour éviter la contamination

Des gestes adoptés au quotidien peuvent aider une personne à éviter le rhume.

Se laver les mains

Les spécialistes conseillent de se laver les mains régulièrement principalement en sortant des toilettes. Un gel antibactérien ou au moins un savon doivent être utilisés pour limiter l’infection virale.

Réduire les poignées de main

Ne pas serrer la main d’une personne qui vient de sortir des toilettes n’est pas un signe d’impolitesse, c’est plutôt une prévention contre les virus Influenza. Un individu sur deux sort d’ailleurs des toilettes sans se laver les mains selon l’étude des chercheurs.

Aérer les pièces

Une pièce non aérée et calfeutrée est un lieu idéal pour le développement des microbes et des virus. Il est donc conseillé d’ouvrir les fenêtres en grand puisqu’une chambre correctement aérée est plus saine.

Combattez la fièvre avec l’homéopathie

La fièvre est généralement spécifiée par une nette augmentation de la chaleur corporelle. Elle se manifeste chez les humains et chez les animaux ayant le sang chaud. L’élévation de la température du corps peut dépasser les 40 ° C en cas d’aggravation. Elle arrive toujours sans crier gare tout en révélant une présence d’infection ou de virus. L’homéopathie propose des traitements adaptés pour agir non seulement sur les symptômes, mais également sur le patient.

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Causes et symptômes de la fièvre

La fièvre n’est pas une maladie, c’est plutôt un symptôme signalant que l’organisme est attaqué par un mauvais germe. Elle n’est qu’un système de protection de l’organisme en stimulant la réaction des défenses immunitaires qui peut se régler avec l’homéopathie.

Un médecin parle le plus souvent de fièvre lorsque la température corporelle d’une personne malade excède les 38 ° C. Elle peut être mesurée sous la langue, dans le rectum ou sous les aisselles appelée par les spécialistes la température axillaire.

Un état fiévreux est souvent la conséquence de l’infection de l’organisme par les bactéries ou par les virus. D’autres maladies ou conditions peuvent également en être responsables, comme les infections de la vessie ou du rein, les maladies rhumatismales, la malaria, l’hyperthyroïdie, le coup de soleil, etc.

Il est classé selon la température du patient, c’est-à-dire qu’une fièvre est subfébrile si la chaleur corporelle est inférieure à 38 ° C, elle est modérée pour une température de 39 ° C et élevée au-delà des 40 ° C.

L’aggravation de la fièvre est toujours accompagnée de frissons tandis que sa diminution s’annonce par la transpiration. Elle arrive souvent accompagnée de douleurs musculaires et de maux de tête provoquant parfois une fatigue, un abattement et un malaise général.

La sensation de froid qui engendre des frissons est très fréquente alors que la température du patient augmente. Il perd l’appétit, n’avale presque rien et a les lèvres et la peau sèches.

Son pouls est rapide et sa respiration est superficielle entraînant parfois une difficulté à respirer. Sa transpiration est anormale et c’est le responsable de la perte hydrique, surtout en cas de chute de la fièvre.

La fièvre et ses variantes

Celle qui est accompagnée de température élevée est la plus fréquente. Cette hausse, si elle dépasse les 38 ° C, est un signe irréfutable d’un état fiévreux. Mais d’autres symptômes peuvent venir s’y ajouter en fonction des cas.

Autre article : homéopathie et grippe

Cette augmentation thermique peut se présenter brusquement après une sensation intense de soif et de grande anxiété. Les lèvres et la peau deviennent ensuite très sèches mêmes après réhydratation.

Attention ! Une personne peut avoir la fièvre, mais sa température est dans la moyenne. À cette condition, elle se manifeste par la succession de rougeur et de pâleur avec une grande fatigue, un sentiment de soif, de gros frissons et une sécheresse buccale.

Elle peut s’accompagner de courbatures, de tremblements et de fortes sueurs. L’hypothalamus ordonne aux muscles de se contracter, provoquant ainsi les tremblements. La transpiration arrive ensuite, c’est ce qui permet de rabaisser la chaleur du corps.

Les remèdes homéopathiques adaptés à chaque symptôme

Le Belladona 9 CH

Premier remède homéopathique : 5 granules de Belladonna 9 CH sont à prendre toutes les 2 heures si la fièvre est apparue brutalement accompagnée d’une élévation considérable de la température (environ 39-40 ° C). C’est le remède le plus efficace dans cette situation puisque le malade a souvent une soif intense et une forte transpiration.

Son visage est écarlate et ses yeux sont brillants puisque les pupilles peuvent se dilater. Le Belladonna est le médicament recommandé dans cette situation. Il aide les patients à retrouver le sommeil.

L’Aconit 9 CH

Une dose d’Aconit 9 CH à prendre toutes les heures en cas d’apparition brutale suffit à aider le patient à passer le moment de l’élévation de la température et la forte soif. La prise de ce remède doit être espacée d’au moins 3 heures une fois que la fièvre diminue.

Le Ferrum Phosphoricum 9 CH

Le Ferrum Phosphoricum est à prendre à raison de 5 granules 4 fois par jour. C’est le dosage d’un homéopathe en présence d’une « petite fièvre », c’est-à-dire pour une température ne dépassant pas 38,5 ° C, une toux sèche, les mains moites, le visage pâle et la soif modérée. Ce médicament peut également stopper le début d’une otite chez les enfants.

Le Gelsemium 7 CH

2 granules de Gelsemium est à prendre 2 à 3 fois par jour si seulement la fièvre ne provoque aucune soif, mais laisse par contre le sujet somnolent, abruti et hébété.

Le Bryonia 5 CH

5 granules de Bryonia doivent être pris toutes les heures en présence d’une fièvre progressive accompagnée d’un désir de ne rien faire et d’immobilité.

Comment soigner la fièvre avec l’homéopathie

La consultation d’un médecin

La consultation d’un médecin est nécessaire pour trouver la source de la maladie. Une fièvre qui dure plus de 2 jours accompagnée d’une température qui dépasse le 39 ° C a besoin d’un avis médical, que cela concerne un enfant ou un adulte. Il en est de même si la température est au-dessus de 40 °C et ce, peu importe l’âge du patient.

Il faut souligner que le principe d’un médecin homéopathie est de guérir et de traiter le sujet et non la fièvre en particulier. Celle-ci n’est rien d’autre qu’un signe, l’isoler du tableau clinique est comme bannir la réaction immunitaire du corps et le processus de défense.

Article sur l’homéopathie et rhume

Dans cette discipline médicale douce, l’analgésique approprié accompagne et canalise ce processus de l’anticorps pour lutter contre la maladie avec efficacité. C’est pourquoi un remède homéopathique doit être indiqué dès la première apparition des signes d’une fièvre.

Il est important de prendre en note que le sujet doit voir un médecin et cela même si aucun des symptômes cités auparavant n’apparaît lorsque la fièvre est résistante et qu’il n’y a aucun signe d’évolution.

Tout sujet fébrile qui ne peut pas boire doit aussi être hospitalisé dans le plus bref délai puisque c’est un signe de complication. À noter que les infections mal ou non traitées peuvent se compliquer et engendrer la septicémie.

Soulager les douleurs avec l’homéopathie

Tout le monde ressent des douleurs quand une maladie vient ou quand quelque chose ne vas pas dans le corps humain. La douleur est une sensation désagréable ressentie à l’intérieur de soi.

Plusieurs types de douleurs peuvent se soigner avec l’homéopathie, mais on en distingue deux qui surgissent fréquemment, la douleur physique, notamment musculaire causée par la fatigue ou par les blessures musculaires, et la douleur crânienne, notamment  les maux de tête ou les migraines.

Parfois, les douleurs sont dues à des blessures ou des chocs. La prévention des douleurs réside dans le mode de vie, une alimentation équilibrée, du sport et du repos.

L’homéopathie est  la solution la plus adaptée aux douleurs

La douleur est synonyme de souffrance, qu’elle soit physique ou psychique. L’homéopathie est une solution convenable pour la soulager. Contrairement aux méthodes allopathiques,  celles de cette médecine douce sont d’origines naturelles, comme les crèmes antidouleur ou les huiles massages.

Le spécialiste prescrit des médicaments appropriés, après avoir fait un diagnostic détaillé, qui sont aussi efficaces que ceux à bases chimiques mais ils sont en plus sans effet indésirable. Ils ne constituent pas non plus de produit qui pourraient engendrer la dépendance.

Les types de douleurs et leurs manifestations

Les douleurs sont présentes dans divers formes de maladies ou de troubles.

La douleur musculaire est l’ensemble de divers troubles comme la courbature musculaire, les crampes et les déchirures. Dans tous les cas, leurs manifestations sont en général marquées par une inflammation, des brulures, des contractions, et des formations d’hématomes.

On retrouve aussi des maux dans une maladie appelée fibromyalgie, elle touche souvent les femmes. Cette maladie se caractérise par des souffrances musculaires et articulaires, parfois accompagnées d’une intense fatigue et des troubles du sommeil.

La douleur dentaire est un des troubles les plus fréquents, elle est due à une carie dentaire, à une gingivite ou à une fracture dentaire.

Les souffrances articulaires sont des troubles au niveau de l’articulation de cause traumatique, mécanique, inflammatoire ou infectieuse.

Les maux de têtes sont aussi des formes de douleurs dont la migraine est l’une des manifestations les plus fréquentes. Elle est due aux stress, à la fatigue, au manque de sommeil et à la consommation excessive de boissons alcoolisées ou certains aliments. Elle se manifeste par une crise douloureuse qui dure entre 4 heures et 3 jours.

La douleur au niveau des os est aussi une forme de trouble, la fracture de l’os crée une souffrance très intense.

Il existe aussi les maux d’estomac ou la diarrhée dus à une alimentation malsaine. Ils se situent au niveau du ventre et sont d’une grande intensité.

L’homéopathie et la douleur

L’homéopathie est  une méthode médicale douce et ses produits sont à base naturelle. Dans le soin allopathique, on utilise des médicaments à base chimique comme le paracétamol, l’aspirine, ou l’ibuprofène, ils sont très efficaces mais les effets secondaires ou les interactions faces aux aliments sont leurs points faibles. Cette médecine douce, par contre, ne génère aucun effet secondaire et n’interagit pas face aux aliments alors qu’elle est aussi très efficace.

Elle peut donner des résultats très rapides. L’Arnica Montana, par exemple, est un des remèdes amicaux des sportifs parce qu’il soulage très vite  les chocs, les hématomes et les entorses.  Le Sportenine est aussi une des préparations que les sportifs portent dans leur trousse de secours, ce remède est efficace contre les courbatures et les crampes.

Jean, 25 ans : « Je suis un sportif et je fais souvent de la musculation, les courbatures me faisaient très mal et on m’a conseillé d’utiliser de la Sportenine. Le résultat a été spectaculaire, au bout d’un moment, la douleur s’estompait. Depuis cette expérience, je ne me sépare jamais de la Sportenine quand je fais de grands entrainements, et je n’ai plus eu la moindre courbature ou crampe. »

Le Cuprummetalicum est très efficace contre les douleurs musculaires et articulaires, son effet est surprenant. Il peut aussi être utilisé contre les coliques digestives et les crampes d’estomac.

Pour le mal de dent, Chamomilla 9 CH est la solution la plus adaptée. Le soulagement est presque instantané. Ce remède est utilisé aussi pour des douleurs spasmodiques, de diarrhée  et des coliques insupportables.

Marie, 28 ans : «  il y a quelques années, j’ai eu une rage de dent atroce. On m’a conseillé de prendre du Chamomilla 9CH, elle est partie aussi vite. Je n’ai même pas eu recours au dentiste puisque la dent n’était pas cariée ni infectée. Maintenant, les traitements homéopathiques me convient plus. »

Le Belladonna 5 CH est un remède contre les maux de tête,  il est très apprécié, il est utilisé contre les souffrances comme la migraine et d’autres spasmes de ce genre. Nux Vomica 5 CH,Sepia 5 CH, et Aconitumnapellus 5 CH sont aussi des traitements contre ce genre de manifestation.

On peut aussi guérir les symptômes de la fibromyalgie par cette médecine naturelle. L’Alumina 12 CH pris une fois par jour combat contre la fatigue chronique, le Colocynthis en dilution korsakovienne (200 K) est pour les douleurs perçantes et brulantes. En cas de stress, Rhustoxicodendron 5 CH est conseillé pour les symptômes psychiques, on peut aussi l’accompagner d’Arsenicum album 4 CH.

Belinda 30 ans : «  On m’a  diagnostiquée et je suis atteinte de la fibromyalgie depuis l’âge de 14 ans. Mon ancien médecin me prescrivait des antidouleurs, des décontractants, des calmants et des antidépresseurs pour soulager les douleurs causées par la maladie, mais le résultat n’est pas satisfaisant. J’ai perdu espoir jusqu’à ce qu’on m’a conseillée de consulter un homéopathe. Ce qu’il m’a prescrit a fait effets, les douleurs insupportables disparaissaient petit à petit. Désormais, je gère mieux ma maladie.  »

Face à toutes ces douleurs, les chercheurs dans le domaine ont trouvé des solutions très adaptés pour que les patients ne soient pas dépendants des remèdes chimiques. Avant de faire un quelconque traitement, faites toujours un diagnostic auprès de votre médecin afin de savoir quelle maladie vous atteint. Les médecins traditionnels prescrivent de plus en plus des produits homéopathiques, soit pour accompagner les traitements classiques soit pour un soin intégral.

L’homéopathie aide-t-elle à arrêter le tabac ?

Le sevrage tabagique ressemble de près à la quête du Graal, bon nombre de personnes s’y mettent avec autant de réussite que d’échec et plus ou moins de bonheur et de malheur. Arrêter de fumer est la plus sage des idées venant d’un individu fumeur. La volonté d’interrompre la consommation de tabac laisse souvent place à d’importantes difficultés à se sevrer. Il convient donc de trouver la méthode efficace et adaptée pour éviter l’échec amenant un risque de reprise. Pourquoi ne pas s’orienter vers l’homéopathie ? Une méthode sans risque et naturelle.

Les remèdes homéopathiques prennent la place des substances nicotiniques

Arrêter le tabac à l’aide de cette médecine douce n’est pas de la même manière qu’avec les substituts nicotiniques (les gommes à mâcher, les patchs, les e-cigarettes, etc.).

Ces derniers ne font qu’accroître le taux de la nicotine présent dans l’organisme jusqu’à un certain niveau. La désaccoutumance s’effectue par la suite en diminuant la dose quotidiennement, et cela de façon progressive.

L’homéopathie vise à éliminer dans l’immédiat, mais par étape, la nicotine contenue dans le corps. Le sevrage tabagique avec son aide permet non seulement de ne pas augmenter la dose de nicotine dans le corps, mais également d’éviter tous effets secondaires liés à l’arrêt du tabac.

Ceci fait qu’il y a très peu de risque dans le traitement de cette médecine qui se définit comme douce, les spécialistes le confirment d’ailleurs. Elle n’est pas toxique, ne présente aucune contre-indication et ne provoque pas d’effets secondaires, ce qui n’est pas le cas pour certaines méthodes de désaccoutumance.

L’homéopathie considère les symptômes en liaison avec le sevrage tabagique

L’avantage du sevrage grâce à cette méthode naturelle est sa prise en compte des conséquences liées à l’arrêt du tabac. Ces conséquences peuvent varier en fonction de chaque personne : la constipation et les troubles de concentration chez les uns et la prise de poids accompagnée de stress et de déprime chez les autres.

Les médicaments annexes améliorent en effet un résultat durable de l’arrêt du tabac ainsi que sa réussite globale. Les remèdes naturels peuvent aussi être indiqués sous forme de draineur pour l’accélération du phénomène de désintoxication, et cela à part le traitement de fond.

Les prises de ces granules peuvent s’espacer durant l’évolution de la désaccoutumance tabagique. Le temps d’intervalle varie souvent selon la condition physique et le désir de la personne d’arrêter le tabac.

Quelques remèdes, parmi les centaines, pour la réussite du sevrage tabagique

Le conseil d’un spécialiste de la discipline est toujours le bienvenu lorsqu’il s’agit d’arrêter le tabac pour de bon. Il peut en effet accompagner un fumeur dans son sevrage en lui prescrivant les remèdes appropriés à sa dépendance ainsi que ses éventuelles réactions face à l’arrêt du tabac.

A lire aussi : Les conseils en homéopathie

Il n’y a pas de risque de rechute ou de reprise, ou tout au moins minime, avec l’accompagnement d’un professionnel. La volonté ne suffit généralement pas à arrêter de fumer. L’élaboration d’une stratégie à long terme est utile pour dépasser la dépendance comportementale et physique.

Le Tabacum 9 CH

Tabacum est pour des personnes à sevrer ayant une illusion. Il est recommandé par le médecin pour tous ceux qui n’ont plus envie de fumer, mais qui présentent une nervosité excessive face au manque de nicotine.

Il lutte également contre la migraine accompagnée de nausée et de fortes pressions sur la tête, ressemblant à un bandeau. Ce signe est très fréquent chez une personne en désintoxication.

Le Caladium Seguinum 15 CH

Ce produit est très connu pour sa capacité à modifier le goût de la cigarette. Quelques granules à chaque envie d’en allumer une suffisent pour changer chaque goût de tabac qu’il soit aromatisé, mentholé ou parfumé.

Le Plantago Major 15 CH

Ce remède permet d’ôter l’envie de fumer accompagnée d’une anxiété tout en souffrant quelques maux (dans les oreilles, dents, etc.). Un spécialiste le conseille le plus souvent si l’ancien fumeur présente une insomnie et une dépression.

Un calendrier, une posologie et des remèdes adaptés sont ainsi proposés par le thérapeute à l’issue des tests et analyses. Il faut au moins noter que la méthode de cette médecine douce revient moins chère par rapport à un paquet de patchs selon la confirmation des ex-fumeurs.

Les alliées de l’homéopathie pour stopper le tabac

Il est tout à fait possible d’associer cette médecine avec les autres méthodes douces pour que le sevrage puisse se faire en un temps record. L’acupuncture, la sophrologie ou encore l’isothérapie font ainsi bon ménage avec l’homéopathie.

L’acupuncture

L’effet de l’acupuncture sur le tabagisme est considérable, surtout lorsque ce dernier est associé à l’homéopathie. Il faut moins de 15 jours pour se désintoxiquer et diminuer la nicotine dans le corps et pour perdre une habitude de toute une vie.

Ces aiguilles, aussi petites soient-elles, visent les points vitaux du fumeur, l’empêchant de fumer à nouveau. Ces actions se complètent avec la thérapie à l’aide des petites granules.

L’isothérapie

Elle fait partie de la branche de l’homéopathie. Elle utilise de façon directe la substance responsable de la dépendance pour la désaccoutumance. Le traitement est de ce fait différent selon le type de cigarette fumée par la personne, qu’elle soit riche en nicotine, « light », blonde ou encore brune.

Un individu voulant arrêter le tabac doit apporter sa marque de cigarette à une pharmacie et c’est cette dernière qui le transmet à un laboratoire spécialisé pour pouvoir analyser les substances.

La sophrologie

La sophrologie est une méthode qui combine à la fois la méditation orientale, le yoga et la relaxation occidentale. Elle permet d’améliorer la qualité de vie tout en battant la peur, le stress, les tensions et l’angoisse.

En association avec les remèdes homéopathiques, elle constitue une aide très intéressante pour augmenter la chance d’avoir un résultat satisfaisant et pour la diminution des troubles liés à la désaccoutumance.

Il faut cependant arrêter de fumer dès le commencement du traitement pour accélérer l’arrêt. Certains aménagements de l’environnement s’avèrent utiles en supprimant briquets et cendriers et en modifiant les habitudes de vie en remplaçant la pause cigarette par une petite marche par exemple.

Dépendance au tabac ? L’homéopathie peut vous délivrer

Une personne est considérée comme étant dépendant de l’alcool ou du tabac lorsqu’elle ne résiste plus au besoin de consommer. Elle ne peut plus se passer de prendre ou de consommer un produit sans souffrir psychiquement et physiquement. Un verre occasionnel de scotch et de whisky n’est pas néfaste pour le corps, mais une bouteille pour entamer la journée est une toute autre histoire : c’est la dépendance. Le but de l’homéopathie est donc de réduire et d’éradiquer cette addiction qu’il s’agisse de tabac ou d’alcool.

La dépendance, l’addiction et la toxicomanie

Un spécialiste parle de dépendance lorsque la vie d’une personne tourne exclusivement ou largement autour de la reprise et de la recherche d’un alcool et de tabac. Elle peut s’installer progressivement ou brutalement selon le concerné et le produit.

Il peut devenir dépendant d’un tel produit (drogue, etc.) sans s’en rendre compte. Cet état peut être classé en deux catégories : physique et psychique.

La première déclenche l’état de manque se manifestant par l’insomnie, la diarrhée, les douleurs et tout ce qui touche le corps de la victime tandis que la deuxième entraîne une sensation d’angoisse, de malaise pouvant aller jusqu’à la dépression.

Un expert parle d’addiction lorsqu’un individu ne peut plus se passer de la drogue. Il ne peut pas contrôler son envie puisque le désir de recommencer s’avère toujours plus fort. Un sujet peut donc être accro à un produit (médicament, alcool, tabac, drogue) à une situation, notamment une relation amoureuse, ou à une pratique (travaux, sport, jeux vidéo, etc.).

Il devient toxicomane lorsqu’il prend un produit, que ce soit licite ou illicite, pour pouvoir échapper à une réalité qu’il trouve difficile à vivre. Son angoisse revient une fois que le produit cesse de faire effet. Un toxicomane augmente ainsi la fréquence des prises et les doses pour avoir l’état qu’il cherche. Il finit souvent par vivre par et pour la drogue.

Se soustraire à l’accoutumance à l’aide de l’homéopathie

Le patient peut se faire aider par une médecine douce telle que la sophrologie, la relaxation ou l’acupuncture suite à une désaccoutumance alcoolique ou tabagique. L’homéopathie est aussi une méthode efficace pour réduire les envies fougueuses de refaire ces pratiques.

L’arrêt de tous types de drogues passe toujours par la consultation médicale puisque le médecin traitant est le seul à pouvoir juger de l’utilité ou non d’une cure de désintoxication. C’est lui qui prescrit le traitement à suivre pour faciliter la désaccoutumance.

Il est souvent aisé de rechuter une fois passé le temps délicat de ce sevrage et cela même en participant à des témoignages ou en suivant une séance de psychothérapie.

L’homéopathie peut ainsi apporter la meilleure des solutions pour éviter la reprise du tabac et la période de ré alcoolisation qui occasionne le plus souvent la consommation très importante qu’avant le sevrage provoquant un sentiment d’échec total.

Les remèdes proposés

Le patient doit prendre le Nux Vomica, notamment lorsqu’elle ne présente aucune complication, mais tombe dans un état de somnolence. Un consommateur occasionnel peut par contre prendre les granules du Lachesis Mutus. 5 granules à raison de 2 fois par jour doivent être consommés.

Le Natrum Sulfuris, quant à lui, est prescrit au désintoxiqué qui ne peut pas se coucher sur son flanc droit à cause de la dilatation considérable de son foie. Il ressent ainsi un certain soulagement lorsqu’il se couche sur le flanc gauche. Il se peut que la diarrhée survienne après chaque repas.

Le Mercurius traite le dépendant de l’alcool et du tabac ayant une langue couverte d’un enduit jaunâtre et très épais ainsi qu’une salivation importante.

Il est toujours conseillé de consulter un spécialiste surtout lorsqu’une somnolence importante est observée chez la personne à sevrer. Il en est de même si elle affiche une agressivité et qu’elle a tendance à faire des mouvements anormaux. Seul un médecin peut lui prescrire le traitement approprié à ce moment.

Ces exemples ne sont qu’indicatifs et il est toujours essentiel de se référer à un professionnel pour indiquer le remède le plus adapté à cet état. Il peut étudier les granules et leur quantité à prendre selon chaque circonstance et chaque patient (durée et degré d’accoutumance, l’âge du patient, addiction forte ou non, etc.).

Les avantages et inconvénients de ces remèdes

Cette médecine douce offre plusieurs avantages par rapport à la médecine allopathique même si elle présente quelques inconvénients.

Avantages

Ses traitements contre l’addiction peuvent être utilisés par tout le monde, mis à part les patients en présence d’allergie liée à un médicament. Il n’y a pas de danger en ce qui concerne l’âge et le taux d’addiction.

Les remèdes homéopathiques n’ont pas d’effet néfaste sur la défense immunitaire, ce qui n’est pas le cas pour la plupart des médicaments traitant l’accoutumance. Ils ne provoquent pas non plus d’effet secondaire et ils n’occasionnent pas d’altération des sens.

Ils sont aussi faciles à prendre puisque les granules sont sous forme de billes, certains peuvent être sous forme de gouttes ou de poudre sucrée. Ils n’engendrent pas de nouvelle addiction.

Inconvénients

La disponibilité des produits est le souci de cette médecine douce. Il se peut qu’un traitement ne soit pas disponible dans une pharmacie même si la plupart des médicaments sont généralement accessibles avec facilité.

Trouver le bon remède requiert également du temps, c’est la seule faille du principe d’individualisation. Le patient doit être à l’écoute lui-même, en analysant les symptômes et en tenant compte des modes d’amélioration et d’aggravation de son état.

Astuces pour éviter et sortir de la dépendance alcoolique et tabagique

Derrière chaque individu esclave de l’alcool et du tabac se cache toujours une histoire et un parcours différents. Il faut noter que l’abstinence est le moyen le plus efficace pour ne pas se faire piéger.

Le fait de reconnaître son état est déjà un grand pas pour sortir de ce processus d’addiction emmenant à la toxicomanie. Boire un verre d’alcool moins de 3 à 4 fois par semaine permet d’éviter la création d’un état d’appartenance.

Boire seul est une mauvaise idée, ce réflexe peut amener à l’addiction totale. Le meilleur moyen d’éviter ou de sortir de cet asservissement est d’abord le refus de s’y soumettre.

Mieux gérer les maladies cardiovasculaires grâce à l’homéopathie

Les maladies cardiovasculaires constituent la première cause de mortalité dans le monde et la deuxième en France. Ces pathologies touchent le fonctionnement du cœur et des vaisseaux sanguins.

L’angine de poitrine, l’infarctus du myocarde, les cardiomyopathies, l’accident vasculaire cérébral ou AVC, l’insuffisance cardiaque ainsi que les troubles du rythme cardiaque sont les plus courantes. La médecine douce peut aider dans leur prévention et leur traitement. Toutefois, il convient toujours de consulter un spécialiste.

Quelles sont les maladies cardiovasculaires ?

Les maladies cardio-neurovasculaires regroupe des troubles qui affectent le cœur et les vaisseaux sanguins. C’est le cœur qui aide au fonctionnement des organes, il agit en tant que pompe qui répartit le sang vers eux.

Les cardiopathies coronariennes concernent les vaisseaux sanguins des muscles cardiaques, les maladies cérébro-vasculaires touchent ceux du cerveau. Les artériopathies périphériques sont liés aux vaisseaux sanguins qui nourrissent les jambes, les cardiopathies rhumatismales concernent le muscle et les valves cardiaques, elles sont les séquelles d’un rhumatisme articulaire aigu causé par le streptocoque. Les cardiopathies congénitales sont des malformations de la structure du cœur, enfin, les thromboses veineuses profondes ainsi que les embolies pulmonaires sont l’obstruction des veines des jambes à cause de caillot sanguin qui peut se libérer et se diriger vers le cœur et les poumons.

L’athérosclérose est le trouble le plus fréquent à cause de la constitution de dépôt gras sur les artères internes.

Toutes ces pathologies entraînent des complications aiguës ou chroniques comme l’infarctus du myocarde, l’accident vasculaire cérébral, l’insuffisance cardiaque, l’insuffisance rénale chronique et bien d’autres.

Les causes principales et les manifestations

La majorité de ces maladies sont héréditaires ou liées à une mauvaise hygiène de vie dont l’alimentation, le manque d’activité physique, le stress, le surmenage, la consommation d’alcool ou le tabagisme. Voici les manifestations des formes de troubles les plus courants en France.

Le cœur doit être nourri en oxygène et en nutriments grâce aux artères coronaires. En cas d’obstruction partielle ou totale, un infarctus ou une crise d’angine survient. Elle se reconnait par une douleur forte au niveau de la poitrine pendant l’effort qui peut continuer à la mâchoire, au cou, aux épaules, aux bras ou au dos. Elle peut annoncer un infarctus du myocarde.

L’infarctus du myocarde peut être fatal, il se traduit par l’arrêt du cœur. Ce sont les dépôts de cholestérol sur les parois internes des artères coronaires qui sont à son origine. L’hypertension artérielle est aussi responsable.

La cardiomyopathie dilatée survient lorsque la quantité de sang envoyée par le cœur à chaque battement baisse. Elle s’explique par la diminution de la force de contraction du muscle cardiaque.

Les principales causes sont la surconsommation d’alcool, de tabac ou de drogue, mais également les infections virales et bactériennes, les maladies endocriniennes, le diabète. Elle peut également être l’effet de médicaments utilisés en chimiothérapie. Les symptômes sont entre autres l’essoufflement à l’effort ou au repos, la fatigue, la dyspnée nocturne (le fait de se réveiller à bout de souffle), l’orthopnée (la difficulté à dormir droit, à plat), l’enflure des membres inférieurs (œdème) ou du ventre.

L’AVC ou accident vasculaire cérébral se traduit par l’arrêt brutal de la circulation du sang dans une partie du cerveau. Cela entraine une paralysie partielle du corps, l’incapacité ou la difficulté à parler et dans sa forme la plus grave, le coma. Il peut aussi causer une hémorragie. Il est causé par la formation d’un caillot de sang qui bloque une artère du cerveau.

L’insuffisance cardiaque est l’incapacité du cœur à faire son travail de pompe. Par conséquent, la vascularisation sanguine diminue et il y a un encombrement du sang dans le système veineux de retour. Les voies vers le cœur sont bouchées. Cette maladie chronique est souvent la conséquence d’une autre maladie cardiovasculaire comme l’infarctus du myocarde, les maladies des valves et du muscle cardiaques, l’hypertension artérielle.

Les troubles du rythme cardiaque ou arythmie, bénigne ou maligne, est l’irrégularité des contractions du cœur. Ils se présentent sous trois formes, dont l’accélération (tachycardie), le ralentissement (bradycardie) et le changement du rythme cardiaque. Son principal symptôme est la palpitation.

L’homéopathie et les maladies cardiovasculaires

L’homéopathie intervient en complément des traitements traditionnels dans les maladies cardiovasculaires. Elle peut être une précieuse alliée dans la mesure où elle agit également en prévention. Lorsque la pathologie est diagnostiquée, l’homéopathie propose une large variété de solutions pour offrir au patient un bien être quotidien.

Des problèmes physiologiques se présentent souvent, cette médecine complémentaire joue un grand rôle lors du traitement. Pour le système vasculaire, citons par exemple la prise en charge des maux de tête, de la fatigue causée par la faiblesse circulatoire, des sensations de chaleur, etc.

Pour le système cardiaque, l’homéopathie intervient efficacement dans la gestion de l’oppression, l’essoufflement, les palpitations, etc.

Prévention

Les soins homéopathiques peuvent être utilisés à titre préventif pour ceux qui ont une prédisposition familiale par exemple ou ceux qui présentent des signes de ces pathologies. Un large choix de médicament est proposé pour les états d’anxiété, le stress, l’insomnie et autres qui causent l’élévation de la pression sanguine.

Souvent, la médecine classique prévoit des anxiolytiques pour traiter les troubles cardiaques d’origine nerveuse, ils peuvent pourtant causer des effets secondaires au niveau du foie et des reins.

Les traitements prévus en homéopathie pour tous les troubles sont naturels et ne présentent aucun effet secondaire. Ils peuvent donc être utilisés en complément des médicaments classiques. Toutefois, les prises doivent être régulières pour une efficacité certaine.

Nathalie 34 ans : « j’avais déjà des problèmes de tension liés à mon stress au travail à 30 ans. Mon médecin de famille m’avait dit que j’étais prédisposée aux maladies cardiovasculaires puisque mes parents en souffrent également. J’ai donc décidé de suivre un traitement homéopathique à titre préventif pour mieux gérer mon état d’anxiété. L’homéopathe m’a prescrit une dose d’Arnica Montana 9 CH et une dose de Phosphorus 9 CH, à prendre toutes les 2 semaines. Depuis 4 ans maintenant, je me sens bien, mes bilans périodiques sont plutôt satisfaisants. »

Paul 47 ans : « Pour le moment, j’ai décidé de suivre un traitement homéopathique pour ma tension élevée puisque cela fonctionne. Pour réguler ma pression sanguine, l’homéopathe m’a conseillé de prendre 5 granules d’Aurum 7 CH et de Baryta carbonicum 7 CH le matin. Avant de dormir, je dois prendre 5 granules de Glonoinum 5 CH. »

Voici le traitement en cas de douleurs à la poitrine. En cas de crise, la prise de l’Aconit 7 CH, à raison d’une dose est préconisée. Si cela persiste, il est conseillé de prendre 5 grains de Spigelia 5 CH tous les 10 mn. Si les douleurs atteignent les épaules et les bras gauche, il faut prendre immédiatement du Latrodectus Mactans 5 CH à raison de 3 granules.

Quoi qu’il en soit, il est très important de consulter un médecin dès la manifestation d’un des symptômes de maladies cardiovasculaires. La prise en charge doit être immédiate, car plus rapidement le trouble est diagnostiqué, mieux elle peut être traitée, sans lésion.

Atténuer et traiter les troubles neurologiques avec l’homéopathie

Les troubles neurologiques sont des pathologies qui affectent le système nerveux. Ils peuvent être considérés comme plus ou moins graves selon la partie concernée et nécessitent, généralement, des traitements médicaux. L’homéopathie se révèle pourtant comme une solution naturelle et efficace contre ces perturbations. Elle y apporte une réponse thérapeutique rapide et fiable que ce soit pour une migraine, une névralgie, une paralysie faciale ou encore un trouble de mémoire. Les remèdes homéopathiques atténuent les manifestations, agissent en douceur et soignent définitivement le sujet.

Homéopathie : efficace contre les troubles neurologiques

L’homéopathie est une méthode thérapeutique qui consiste à soigner toute sorte de maladies, dont les troubles neurologiques affectant le système nerveux central ou périphérique. Cette forme de médecine douce apporte des solutions pérennes. Le principe consiste à administrer au patient une quantité infime de substances diluées d’origine végétale, animale ou minérale en vue de déclencher des symptômes similaires à ceux de la maladie à combattre. L’objectif est de stimuler les défenses de l’organisme du patient pour qu’il combatte lui-même le mal. Les remèdes homéopathiques sont d’une grande efficacité.

L’homéopathie est une médecine naturelle et les traitements sont faciles à suivre et bien tolérés. Elle ne présente que très rarement d’effets secondaires. Pour les troubles neurologiques, elle apporte un soulagement rapide aux douleurs comme le cas de la céphalée ou de la migraine et des solutions permettant de venir à bout de la maladie. Elle peut s’associer avec des traitements classiques.

Les troubles neurologiques et leurs manifestations

Ce sont des maladies affectant le système nerveux, pouvant être considérés comme plus ou moins graves. La céphalée est la plus courante. Souvent bénigne, ce mal de tête peut survenir pour différentes raisons. La douleur peut être parfois intense et pour la calmer rapidement, le patient peut prendre des médicaments homéopathiques associés à une moindre dose d’analgésiques. La migraine est aussi une forme de neuropathologie assez pénible à cause de la douleur souvent insupportable et qui peut survenir à tout moment.

Les pertes de mémoire touchent le cerveau et concernent un certain nombre d’individus. Elles peuvent se manifester par des confusions au moment des conversations.

La névralgie, pouvant être spontanée ou continue, se présente comme une douleur due à une lésion ou une irritation d’un nerf.

La paralysie faciale, quant à elle, se montre par des difficultés à afficher des expressions comme le sourire sur le visage ou à mâcher correctement etc. Le trismus, par contre, est un dysfonctionnement de la mâchoire qui se manifeste par une douleur et une inflammation pouvant gêner la mastication et la communication verbale.

La paresthésie est un trouble qui affecte la sensibilité, soit l´organe du toucher. Les manifestations les plus fréquentes sont des fourmillements, des engourdissements ou des picotements. Parfois, la personne ressent le chaud ou le froid alors qu´il ne touche à rien qui puisse provoquer cette sensation. Ses causes sont variées comme la carence en vitamine B5 et B12, une hernie discale ou une affection thyroïdienne affectant les nerfs, une intervention chirurgicale ayant causé des impacts sur les nerfs, un nerf ou un vaisseau sanguin compressé, une position inadéquate du corps pendant un certain temps, l’anxiété ou encore une exposition prolongée des mains ou des pieds à un froid intense.

La polynévrite est une maladie de plusieurs nerfs situés au niveau des pieds et des mollets. Elle est douloureuse et peut être violente et brusque ou électrique.

Le saturnisme est provoqué par l’ingurgitation ou d’inhalation de plomb. Ses apparitions sont similaires aux effets d’un empoisonnement, notamment les convulsions et les délires.

La somnolence est un état d’endormissement au cours de la journée. Le patient a des sensations d’irritabilité et de nervosité.

Quant au vertige, il est souvent bénin et concerne généralement les personnes âgées, soit de plus de 50 ans. Il peut être accompagné de nausées, d’un déséquilibre et d’un trouble de la marche.

Les remèdes homéopathiques utilisés pour soulager et traiter les troubles neurologiques

Le Lycopodium 9 CH est utilisé pour le traitement des pertes de mémoire, Une perturbation plus ou moins grave. L’administration de ce produit permet d’améliorer la capacité de mémorisation de la personne qui présente de la confusion durant des conversations.

Claude 65 ans : « Il y avait un certain temps où j’ai connu des absences, des moments de flottement, des oublis. Je passais mon temps à retrouver mes affaires. Tout inquiet, mon fils m’a conseillé un homéopathe qui m’a prescrit le Lycopodium 9 CH à raison de 3 granules 3 fois par jour et plus de récidive ! »

Aconit et Causticum sont préconisés pour le traitement de la paralysie faciale. Ils procurent des résultats très satisfaisants.

Aude 27 ans : « Je n’arrivais pas à fermer mon œil gauche et j’ai des difficultés à articuler. Mon médecin a établi la paralysie faciale ! J’ai entendu parler de l’efficacité de l’homéopathie et j’ai consulté un spécialiste qui m’a prescrit du Causticum, tout est revenu à la normale ! »

Magnesia Phosphorica 9 CH ou le Phytolacca 7 CH sont les plus indiqués pour soigner la polynévrite, une affection douloureuse de plusieurs nerfs. Ils sont plus qu’efficaces.

Pierre 45 ans : « J’ai eu brusquement une douleur insupportable au niveau des pieds. J’ai tout de suite consulté un homéopathe qui m’a diagnostiqué une polynévrite et qui m’a prescrit du Magnesia Phosphorica 9 CH, ce qui m’a soulagé et guéri rapidement. »

Aethusa cynapium est préconisé en cas de saturnisme, une maladie causée par une intoxication au plomb. Il agit efficacement contre les convulsions et les délires.

Argentum nitricum, Conium maculatum et Cyclamen europaeum sont souvent prescrits en cas de vertige, source de nombreux désagréments. Ils permettent de l’atténuer, voire l’éliminer.

Marie Christine 54 ans : « Récemment, j’ai eu un soudain grand vertige. Partisane depuis toujours de l’homéopathie, j’ai consulté un spécialiste qui m’a donné de l’Argentum nitricum qui a vite soulagé cette mauvaise sensation. »

Quoi qu’il en soit, il est important de consulter un thérapeute quelque soit son malaise neurologique puisque chaque cas peut être différent et surtout pour bien déterminer la posologie et la fréquence des prises adaptée à soi.